Obrázky stránek
PDF
ePub

Les obélisques gris s'élançaient d'un seul jet. Comme une peau de tigre, au couchant s'allongeait

Le Nil jaune, tacheté d'îles.

(b) Je veux voir des combats, toujours au premier rang!

(c)

Voir comment les spahis s'épanchent en torrent
Sur l'infanterie inquiète;

Voir comment leur damas, qu'emporte leur
coursier,

Coupe une tête au fil de son croissant d'acier!

J'aime le vrai soldat, effroi de Bélial.
Son turban évasé rend son front plus sévère,
Il baise avec respect la barbe de son père,
Il voue à son vieux sabre un amour filial,
Et porte un doliman percé dans les mêlées.
De plus de coups que n'a de taches étoilées
La peau du tigre impérial.

(d) Ils sont tout près!-Tenons fermée
Cette salle où nous les narguons.
Quel bruit dehors! Hideuse armée
De vampires et de dragons!
La poutre du toit descellée
Ploie ainsi qu'une herbe mouillée,
Et la vieille porte rouillée
Tremble à déraciner ses gonds.

(e) Trêve! taisez-vous, les deux villes!
Je m'ennuie aux guerres civiles.
Nous sommes vieux, soyons tranquilles.
Dormons à l'ombre des bouleaux.
Trêve à ces débats de familles !
Hé! sans le bruit de vos bastilles
N'ai-je donc point assez, mes filles,
De l'assourdissement des flots?

12. Translate

(a) Une tête massive en bas et étroite en haut, un corps trapu, des nodosités sur le crâne, de courtes jambes, de longs bras, pour pieds des nageoires, pour mains des griffes, un large visage vert, tel est ce roi. Ses griffes sont palmées et ses nageoires sont onglées.

(6) La Durande, sans compter Clubin, le capitaine, portait sept hommes d'équipage: un timonier, un matelot charbonnier, un matelot charpentier, un cuisinier, manoeuvrier au besoin, deux chauffeurs et un mousse. L'un des deux chauffeurs était en même temps mécanicien. Ce chauffeurmécanicien, très-brave et très-intelligent nègre hollandais, évadé des sucreries de Surinam, s'appelait Imbrancam.

(c) Il profitait des marées basses pour dépouiller les récifs de tout ce que le naufrage leur avait partagé. Il allait de roche en roche ramasser ce que la mer y avait jeté, les haillons de voilure, les bouts de corde, les morceaux de fer, les éclats panneaux, les bordages défoncés, les vergues cassées, là une poutre, là une chaîne, là une poulie.

(d) Les nuées terribles modelaient dans l'immensité des masques de gorgones, la pluie venait des vagues, l'ecume venait des nuages, les fantômes du vent se courbaient, des faces de météores s'empourpraient et s'éclipsaient, et l'obscurité était monstrueuse après ces évanouissements; il n'y avait plus qu'un versement, arrivant de tous les côtés à la fois; tout était ébullition; l'ombre en masse débordait; les cumulus chargés de grêle, déchiquetés, couleur cendre, paraissaient pris d'une espèce de frénésie giratoire.

D

(e) Le Cashmere arriva. Il surgit, il se dressa. Il semblait croître sur l'eau. Če fut comme le grandissement d'une ombre. Le gréement se détacha en noir sur le ciel dans le magnifique balancement de la mer. Les longues voiles, un moment superposées au soleil, devinrent presque roses et eurent une transparence ineffable. -VICTOR HUGO.

GERMAN.

The Board of Examiners.

PASS AND FIRST HONOUR PAPER.

1. Translate

(a) Ich glaube es gern, dasz ich Ihnen weit mehr koste. Aber es wäre verlorene Tinte, es dazuzuschreiben. Ich kann Ihnen das nicht bezahlen, und wenn Sie mir vollends die Liverei nehmen, die ich auch noch nicht verdient habe, so wollte ich lieber Sie hätten mich in dem Lazarethe crepiren lassen.

(b) Du Quälgeist! Warte, Franziska, er soll dir es gedenken! Doch schwatze nur; sonst schlafen wir wieder ein. Sein Regiment ward nach dem Frieden zerrissen. Wer weisz, in welche Verwirrung von Rechnungen und Nachweisungen er dadurch gerathen? Wer weisz, zu welchem andern Regimente, in welche entlegene Provinz er versetzt worden? Wer weisz, welche Umstände -Es pocht jemand.

(c) Wie ist mir? Meine ganze Seele hat neue Triebfedern bekommen. Mein eigenes Unglück schlug mich nieder, machte mich ärgerlich, kurzsichtig, schüchtern, lässig; ihr Unglück hebt mich empor, ich sehe wieder frei um mich und fühle mich willig und stark, alles für sie zu unternehmen-Was verweile ich?

2. State briefly Lessing's object in writing Minna von Barnhelm.

3. Translate

(a) Denn die Unsterblichen lieben der Menschen Weit verbreitete gute Geschlechter,

Und sie fristen das flüchtige Leben
Gerne dem Sterblichen, wollen ihm gerne
Ihres eigenen, ewigen Himmels

Mitgenieszendes fröhliches Anschaun
Eine Weile gönnen und lassen.

(b) Dein Bruder ist geheilt! Den Felsenboden
Des ungeweihten Ufers und den Sand
Betraten wir mit fröhlichen Gesprächen;
Der Hain blieb hinter uns, wir merkten's nicht.
Und herrlicher und immer herrlicher
Umloderte der Jugend schöne Flamme
Sein lockig Haupt; sein volles Auge glühte
Von Muth und Hoffnung, und sein freies Herz
Ergab sich ganz der Freude, ganz der Lust,
Dich, seine Retterin, und mich zu retten.

4. Translate, adding to each piece a brief note, explanatory or appreciative

(a) Göttin der Tonkunst auf purpurnen Schwingen, Kamst du von Sion zu Menschen herab; Lehrtest sie flöten, und spielen, und singen, Griffst in die Harfe, die Jova dir gab.

Thiere und Pflanzen

Strebten zu tanzen;

Kummer und Schwermuth mit wolkigem Blick
Wichen dir, mächtige Göttin! zurück.

-Schubart.

(b) Der Eichwald brauset, die Wolken ziehn,
Das Mägdlein sitzet an Ufers Grün;

Es bricht sich die Welle mit Macht, mit Macht,
Und sie seufzt hinaus in die finstre Nacht,
Das Auge von Weinen getrübet:

"Das Herz ist gestorben, die Welt ist leer,
Und weiter gibt sie dem Wunsche nichts mehr.
Du Heilige, rufe dein Kind zurück,

Ich habe genossen das irdische Glück,
Ich habe gelebt und geliebet!"-Schiller.

(c) So denken wir an den jüngsten Tag
Und hören Posaunen schallen;

Die Gräber springen von Donnerschlag,
Die Sterne vom Himmel fallen;
Es braust die offne Höllenkluft
Mit wildem Flammenmeere
Und oben in der goldnen Luft

Da jauchzen die selgen Chöre.-Uhland.
(d) Ueber den First wo die Glocken hangen,
Ist schon lange der Schein gegangen,
Ging in Thürmers Fenster ein;

Wer am nächsten dem Sturm der Glocken,
Einsam wohnt er, oft erschrocken,

Doch am frühsten tröstet ihn Sonnenschein.

Wer in tiefen Gassen gebaut,

Hütt' an Hüttlein lehnt sich traut;

Glocken haben ihn nie erschüttert,

Ueber ihm ist's, wenn's gewittert,

Aber spät sein Morgen graut.-Paul Heyse.

« PředchozíPokračovat »