L'Université catholique, recueil religieux, philosophique, scientifique et littéraire, Svazky 7–8E.J. Bailly, 1839 |
Další vydání - Zobrazit všechny
Běžně se vyskytující výrazy a sousloví
âme Amphictyons années Anthémius Arvandus assez avaient Avitus Bottari catholicisme catholique cause choses chré chrétienne Christ Christianisme ciel clergé cœur conscience croix croyances cycle Démosthènes devant Dieu divine doctrine doit donner doute écou enfans épactes époque Eschine esprit eût événemens évêques force glise Grèce héliastes hommes humain idées Innocent III Jésus Jésus-Christ jours juges justice l'âme l'art l'au l'auteur l'Eglise l'empire l'esprit l'histoire l'homme l'in l'ordre l'unité laisser lettre dominicale liberté long-temps Lothaire lui-même main Majorien ment monde morale mort moyen âge nombre nombre d'or pable païen panthéisme pape parole passé pensée père peuple philosophie poésie poète pontife porte pouvoir pré premier prêtres prince principe protestantisme puissance puisse qu'une raison religieux religion reste Ricimer rien Romains Rome saint saint Pothin Saint-Siége Sauveur science Seigneur sentiment sera seule Sidonius siècle social société solaire sorte spirituelle terre teur théisme tion tribunal trouve ture vérité
Oblíbené pasáže
Strana 14 - de Jean , qu'il a surnommé Pierre, et il lui dit : « Tu es Pierre et « sur cette pierre je bâtirai mon Eglise , * et les portes de l'enfer ne prévaudront « point contre elle. » Et ailleurs :
Strana 158 - scientiœ boni et mali ne comedas; in quocumque enim die comederis ex eo, morte morieris (I). 11 appartient plutôt à la théologie qu'à la physiologie de nous expliquer comment tous les hommes, étant morts par l'acte de leur premier père, ont ressuscité par l'expiation du Christ
Strana 367 - richesses. Je ne dirai plus qu'un mot : il ordonnait qu'on vendît les œufs des basses-cours de ses domaines, et les herbes inutiles de ses jardins ; et il avait distribué a ses peuples toutes les richesses des Lombards et les immenses
Strana 426 - de la guerre, quelque brillant qu'il soit, ne sauvent pas un homme de la foule dans laquelle il est confondu. La jalousie des rangs y est inconnue. On dit que le premier de Paris est celui qui a les meilleurs chevaux' à son carrosse. » Le dévergondage des petits soupers préparait le règne des
Strana 427 - la critique ceux de ma personne. Si l'on savait qui je suis, on dirait : Son livre jure avec son caractère; il devrait employer son temps à quelque chose de mieux : cela n'est pas digne d'un homme grave. Les critiques ne manquent jamais ces sortes de réflexions, parce qu'on les peut faire sans essayer beaucoup son esprit (3).
Strana 427 - liberté politique (7). i Dans les Lettres persanes il se contente de dire : « Ce sont ici les his< toriens d'Angleterre, où l'on voit la lii berté sortir sans cesse des feux de la < discorde et de la sédition, le prince (1) Lett. 156,
Strana 427 - L'humeur impatiente des Anglais ne laisse guère à leur roi le temps d'appesantir son autorité. La soumission et l'obéissance sont les vertus dont ils se piquent le moins.... Si un prince, bien loin de faire vivre ses sujets heureux, veut les accabler et les détruire , le fondement
Strana 427 - plus que par habitude, ou comme un magicien qui fait croire que trois ne sont qu'unique le pain qu'on mange n'est pas du pain, ou que le vin qu'on boit n'est pas du vin
Strana 373 - cette grande armée?—Non, > répondit celui-ci. Le Lombard voyant ensuite une troupe immense de simples soldats assemblés de tous les points de notre vaste empire, finit par dire à Ogger : « Certes, Charles s'avance triomphant au milieu de cette foule. < Non , pas encore , et il ne paraîtra pas de sitôt,) répliqua l'autre. < Que
Strana 427 - qu'on est bien embarrassé dans toutes les religions quand il s'agit de donner une idée des plaisirs qui sont destinés à ceux qui ont bien vécu < ; i qu'on épouvante facilement les médians par une longue suite de peines dont on les menace ; > mais