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1 (c)

2 (c)

(a)

s (d)

5.

Non, non, Monsieur! | rien de vous ne me tente.
J'aime bien mieux, bien mieux, mon villageois.1

Qu'il est heureux, | ton berger, ma bergère!

- Vraiment, Monsieur, il n'est pas malheureux!
Ah! si j'avais le bonheur de te plaire!

- Pour moi, Monsieur, | mon berger me plaît mieux.2

6. A tes3 genoux je meurs, ma' bergère.

7.

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Serait-ce lui qui vient dans cette plaine?"
Précisément! | Monsieur, retirez-vous.

Viens, mon enfant, | là-bas, sous ces vieux chênes,"
Pour éviter tous les soupçons jaloux.10

8. Vous persistez? 11 | C'est en vain. Je vous quitte.
Gardez votre or, | vos biens et vos châteaux,12

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Cest une jolie ber---gẻ-------re, un jour gardantses mou

'Car je préfère bien mieux mon villageois."

"Et Monsieur! je préfère mon berger."

"Un autr(e) que vous, Monsieur, il me plaît mieux."

VOS...

6 ma

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(c) "Car je sens déjà mon heure dernière."

(a) "Je sens venir mon heure derni-ère."

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Oh! ma Lucie, à genoux je me jette.

Mourez, mourez, Monsieur, si vous voulez.

Oh! ma Lucie, voilà ma dernière heure.

- Hélas! Monsieur, c'est l'heur(e) de mon berger."

8 (c) "Serait-ce lui, là-bas, dans ces plaines?"

9 (c) "Viens, belle enfant, viens sous ce chêne."

10 La leçon d n'a pas cette strophe.

11 (a) "De persister c'est en vain . . ."

12 (d) "Adieu, votre or, vos bijoux, vos atours."

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14 Première leçon, celle de V.-F. de Repentigny, qui la reçut de sa mère (à Saint-Timothée, Beauharnois), vers 1870; deuxième leçon, celle de Jos. Rousselle, qui l'apprit de

tons;

S'en va dire à sa me----re: -Ma-man loi-seau que voi

A chaque fois qu'je lui tou ---- che, il s'en---vo-le dans ces

bois.

-Tais--toi, petite fol- let

te! Nas-- tu —— ja-mais vu doi

seau ?

Pus-- que tu ta...
---mu--ses a an-tem-pler cet oi---seau,

Les loups viendront, je te Ju --- - - -re; ra-va----ge- ront ton trou-peau.

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Ce--tait un jo--lie bergère qui gar-dait son blanctroupeau.. Un

jour, di-sait à sa mère:-Ma-man l'oi-seau que voi-là, A chaque fous qu'j'essaye à le

pren-----dre, u vol-ti-ge dans ce bois. -Tais-toi, pe-ti--te fol-let ----te! Nas

tu-ja-mais vudoi-seau? Tan-dis que tu t'a-mu---- ses à parcourir cet oi

Charles Fecteau (Saint-Romuald, Lévis), en 1892; troisième leçon, communiquée par M. Malchelosse à E.-Z. M.; texte de Eugénie Audet (Mme Alfred Malchelosse), appris de dame Hermine Larichelière, à La Prairie, qui le reçut de son père, Isaac Audet, il y a 50 ou 60 ans, La collection Barbeau contient des variantes recueillies dans Charlevoix. Feu Alphonse Larocque (Ottawa) — originaire de Rigaud — chantait aussi cette chanson. (Phonog. 794. 1232.)

seau- Les loups viendrontje te jurera-va-ge-rontton troupeau.

1. C'est une joli (e)1 bergère, | qui gardait son blanc troupeau;2
Un jour, disait à sa mère: |— Maman, l'oiseau qui voilà,
A chaque fois qu(e) je lui touche, il s'envole dans ces bois.5

2. Tais-toi, petite follette! | N'as-tu jamais vu d'oiseau? Tandis que tu t'amuses | à contempler' cet oiseau,

3.

Les loups viendront, je te jure; | ravageronts ton troupeau.

Je me moque de la ruse | et j'aime la liberté.

Je suis lass(e) d'être bergère, | de parcourir ces vallons.'

Ce petit oiseau, ma mère, | vaut bien mieux que mes moutons.10

4. Il a la tête si belle! | De fleurs, il est couronné,11

Tout couronné de roses, de roses et de diamants.12

Ce petit oiseau, ma mère, je le prends pour mon amant."

5. Tais-toi, petite friponne! | oserais-tu me parler?

6.

Si tu en prends la routine, je te pass(e)rai le bâton.

Je [passerai ces] envies que t(u) as pour ces jeun (es) garçons.

· Que vous êt(es) cruell(e), ma mère, | d'empêcher mes amants! Quand vous étiez à mon âge, | vous en aviez [bien autant]. Si vous (n')aviez pas épousé vous n'auriez pas eu d'enfants.14

1 (Leçon 2) "C'était . . . ;" (Leçon 3) ". . . Une jeune . . .

...

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"

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Au fond des bois."

(Leçon 3) "Ah! je me ris d'être dupe, et je veux ma liberté. Je suis jolie bergère, la plus jolie du vallon."

10 Tiré de la leçon de de Repentigny.

(Leçon 3)

"1 (Leçon 1) différente:

1 (Leçon 1)

13 (Leçon 3)

Et ce bel oiseau, ma mère, vaut mieux que tous les moutons."

"Il en est tout couronné." Dans la leçon Rousselle, cette strophe est

"Ce p(e)tit oiseau-là, ma mère, vaut mieux que mon troupeau.

Il a la tête rouge; ses yeux en sont qu'un diamant.

Je voudrais l'avoir ici, dans mon appartement."

"Aussi de beaux diamants."

"Je veux qu'il prenne sa pose, dedans mon appartement."

14 Ces deux derniers couplets ne se trouvent que dans la version Rousselle.

20. LA FILLE QUI VEUT SE MARIER.1

Ce---tait un jeun'fille à l'â--ge de quinze ans; Un jour, dit a sa

• mère:Il me faut un

a--mant.- Un jour, dit à sa mère: -Je

ne sais com ---ment fair; Nuit et jour je sou-pir je ne pax plus

dor.

mir.-Oh! tai-sez-vous,ma fil--le!Ion vous gué--rL - -ra Par

u---ne mé-di

cine, u-ne sai-gnée de bras-Point tant de mé-di--cin, — ni

de mé-di---que

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2. Oh! taisez-vous, ma fille, l'on vous [en] guérira
Par une médecine, | une saignée au bras.

- Point tant de médecines, | ni de médicaments!
Ah! je vous dis,' ma mère, | qu'il me faut un amant.

1 Leçon a, de V.-F. de Repentigny, qui l'apprit à Saint-Timothée (Beauharnois), de sa sœur Marie-Anne, en 1880. (Phonog. 811.) — Leçon b (Collection A. G.), chantée par Mme Narcisse Papillon, âgée de 51 ans, des Ecureuils (Portneuf), qui l'apprit de Jacques Savard; de Loretteville, Ormière, vers 1879.

(b) "C'est une jolie fille, âgée de quinze ans.”

! (b) "Nuit et jour elle soupire, elle pense à son amant."

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3.

4.

5.

6.

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Ne dites rien,1 ma fille, l'on vous [en] guérira.

Au couvent des Ursulines, l'on vous mettera;

Vous apprendrez à lire, à lire et à écrire.

Voilà comment font toutes les d(e) moiselles du couvent.3

Dans ce couvent, ma mère, | dans ce couvent, maman,
De quelle mani-ère | passe-t'on son temps?

Porte-t'on des rob(es) blanches, | aussi des [falbalas] ?4
Le soir, va-t'on au bal, | aux divertissements?"

Ne dites rien, ma fille; | cela vous trompe bien:
Tout (es) ces belles parures | vous serviront de rien.
Vous porterez rob(es) grises, aussi des voiles blancs.
Voilà les beaux costumes des d(e) moisell (es) du couvent.

Adieu, père! adieu, mère! | adieu, mon cher amant! 6
C'est pour plaire à ma mère, | je m'en vas au couvent.
Je prierais pour mon père, | aussi pour mon amant,
Et non' pas pour ma mère, | qui m'a mise1o au couvent.

21. JE NE VEUX PAS ME MARIER.11

J-116.

Fai--tes--moi un homm'sans tê--te; je vous en paze-rai la fa--- çon. Tous les

homm' fort a leur tê--te quand ils re--vienna la maison.

Refrain

Vous aurez

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(a) "Au couvent des Ursulines, vous pass (e)rez votre temps,

Toujours en regrettant vos plus tendres amants."

La chanteuse disait: "des farbenas."

Cette strophe ainsi que la suivante appartiennent seulement à la leçon b.

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11 Chantée par C.-E. Gosselin. Sa mère - E. Hamelin,

apprise à Portneuf, vers 1868. (Phonog. 1117.)

de qui il la tient, l'avait

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