Časopis Českého museum, Svazek 6W knihkupectwj J.G. Calve, 1832 |
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aneb auda býti což české českého čili činj dále děkan djlem dřjwe dwě dwůr Europě Frant gako gakoby gakož gakožto gakž gazyk geden gednau gedné gegich gegj geho gemu genom genž gest geště gich giné ginj giných giž gména gsau gsem cholera knjže Kocaurkowa kteréž kteřj lennj lennjho magj manstwj Matice české měsjci mjsto Museum musj může nářečj nás naše našeho našj negen nenj než nežli nyněgšj nynj owšem pan Wšewěd Pjsku podlé poněvadž posawad práw práwa Praze protož prwnj před předce řeč řeči sám sebau slowa sobě stogj stoletj swau swé swého swém swému swůg swých swým takowé tato těch teprw tohoto wám wás wěc wěci wěku welmi wětšj wjce wlasti woda wšak wše wšecko wšech wšem wšickni wůbec wždy zagisté zwláště zwláštnj žeby
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Strana 281 - Le contour de la tête, vue de face, représente assez bien la figure d'un carré, parce que la hauteur dépasse peu la largeur, que le sommet est sensiblement aplati, et que la direction de la mâchoire est horizontale. Le nez est moins long que la distance de sa base au menton; il est presque droit à partir de sa dépression à la racine, c'est-à-dire sans courbure décidée ; mais si elle était appréciable, elle serait légèrement concave, de manière que le bout tendrait à se relever ;...
Strana 281 - En voici la détermination précise : le diamètre vertical est court, et par conséquent le visage large ; comme le sommet du crâne est assez aplati et le bord inférieur de la mâchoire presque horizontal , le contour de la tête , vue de face , se rapproche beaucoup d'un véritable carré.
Strana 281 - ... sans courbure décidée; mais, si elle était appréciable, elle serait légèrement concave, de manière que le bout tendrait à se relever ; la partie inférieure est un peu large, et l'extrémité arrondie. Les yeux, un peu enfoncés, sont parfaitement sur la même ligne, et, lorsqu'il sont un caractère particulier, ils sont plus petits que la proportion de la tête ne semblerait l'indiquer.
Strana 281 - Les sourcils, peu fournis, en sont trés-rapprochés, surtout à l'angle interne ; ils se dirigent de là souvent obliquement en dehors. La bouche, .qui n'est pas saillante, et dont les lèvres ne sont pas épaisses, est beaucoup plus près du nez que du bout du menton. Un caractère singulier qui s'ajoute aux précédents, et qui est très-général, se fait remarquer dans leur peu de barbe, excepté à la lèvre supérieure.
Strana 281 - Le nez est moins long que la distance de sa base au menton; il est presque droit à partir de sa dépression à la racine, c'est-à-dire sans courbure décidée ; mais si elle était appréciable, elle serait légèrement concave, de manière que le bout tendrait à se relever ; la partie inférieure est un peu large, et l'extrémité arrondie. Les yeux, un peu enfoncés, sont...
Strana 266 - ... lequel les travaux de M. Fauriel répandront un nouvel éclat. On peut espérer de voir bientôt remplir ces lacunes ; car ces peuples sont peu éloignés , et touchent presque de toutes parts à la France. Encore faut-il les visiter, les étudier avec soin, ne pas se contenter d'une vue superficielle. Nous connaissons mieux nos antipodes que nos voisins, les peuples sauvages que les peuples les plus anciennement policés, ceux qui n'ont aucun document historique que les nations qui ont répandu...
Strana 259 - BROCA, Mémoires d'Anthropologie, Paris, J.-M. Place, 1989, préface de C. Blanckaert. A. DESMOULINS, Histoire naturelle des races humaines, Paris, MequignonMarvis, 1826. WF. EDWARDS, « Des caractères physiologiques des races humaines considérés dans leurs rapports avec l'histoire » [1829], Mémoires de la Société ethnologique de Paris, 1, 1841. A. DE GOBINEAU, Essai sur l' inégalité des races humaines [1854], Paris, Belfond, 1967.
Strana 450 - Zhe pa po zherki boljfhi je'd ne bode, In savolj zherke ne terpí nizh fhkode ; Obhaja taka mifel naf Slovenze, De pravdajo fe ti moshje mor'biti, Sa kar fo fe nekdajui Abderiti V' flovezlii pravdi od oflove fenze.
Strana 128 - Matice ceská.« §. 2. Pokladnice tato k tomu cjli se ustanowuge, aby k wydáwánj dobrych ceskych knih buJto wûbec prospësn<ch, bud' i wèdeckych aneb krasorecnych, napomáhala i ge usnadnila.
Strana 109 - Die Slawonier, wie ihre leiblichen Sprachbrüder, die Dalmatiner, schreiben zwar seit 300 Jahren, dann und Wann, etwa jede Generalion, einen Brief, oder gar ein Buch...