| Felix M'Donogh, Étienne de Jouy - 1820 - 372 str.
...déchiré. Sa vie n'était qu'une agonie prolongée, et ce qui lui était le plus pénible , c'était la nécessité d'avoir le sourire sur les lèvres en présence d'une épouse qu'il ne pouvait se résoudre à accabler par la nouvelle de son désastre. Mais les yeux de l'affection... | |
| Felix M'Donogh, Étienne de Jouy - 1820 - 376 str.
...déchiré. Sa vie n'était qu'une agonie prolongée , et ce qui lui était le plus pénible , c'était la nécessité d'avoir le sourire sur les lèvres en présence d'une épouse qu'il ne pouvait se résoudre à accabler par la nouvelle de son désastre. Mais les yeux de l'affection... | |
| Felix Macdonogh - 1821 - 422 str.
...déchii-é. Sa vie n'était qu'une agonie prolongée, et ce qui lui était le plus pénible, c'était la nécessité d'avoir le sourire sur les lèvres en- présence d'une épouse qu'il ne pouvait se résoudre a accabler par la nouvelle de son désastre. Mais les yeux de l'affection... | |
| Washington Irving - 1822 - 320 str.
...délicate la lui rendoit encore plus chère. Jamais, couple ne marcha dans les sentiers fleuris d'u<& hymen bien assorti avec une plus belle perspective...soupirs étouffés , et ne se laissant point tromper parles efforts impuissants qu'il faisoit pour montrer de la gaieté , elle soupçonna qu'il étoit... | |
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