| Felix M'Donogh, Étienne de Jouy - 1820 - 372 str.
...sentier circulaire à travers quelques bosquets, nous arrivâmes à la maison. Comme nous en approchions, nous entendîmes le son de la harpe. Leslie me saisit le bras ; nous nous arrêtâmes pour écouter, et nous reconnûmes la vois de Marie, qui chantait avec la simplicité... | |
| Felix M'Donogh, Étienne de Jouy - 1820 - 376 str.
...circulaire à travers quelques bosquets , nous arrivâmes à la maison. Comme nous en approchions, nous entendîmes le son de la harpe. Leslie me saisit le bras ; nous nous arrêtâmes pour écouter , et nous reconnûmes la voix de Marie, qui chantait avec la simplicité... | |
| Felix Macdonogh - 1821 - 422 str.
...sentier circulaire a . travers quelques bosquets, nous arrivâmes a la maison. Comme nous en approchions, nous entendîmes le son de la harpe. Leslie me saisit le bras ; nous nous arrêtâmes pour écouter , et nous reconnûmes la voix de Marie, qui chantait avec la simplicité... | |
| Washington Irving - 1822 - 320 str.
...chose de pittoresque qui flatloit les yeux. Une vigne sauvage tapissoil une partie de l'habitation j quelques arbres cachoient l'autre sous leur ombrage....toujours aimée. Je sentis trembler la main de Leslie. Il s'avanc% pour mieux entendre. Ses pas firent crier le sable de l'allée. Tout à coup une tête pleine... | |
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