 | Prosper Poitevin - 1856 - 508 str.
...moins que : A MOINS QUE vous NE PRENIEZ bien vos mesures, vous n'en viendre&pas a bout. (Académie.) De vos songes menteurs l'imposture est visible, A...semble vous troubler Ne soit ce coup fatal qui vous faisait trembler. (Racine.) N'espére&pas obtenir les faveurs du ciel st vous NE REMPLISSEZ vos devoirs... | |
 | Jean Racine, Louis Fasquelle - 1856 - 334 str.
...12 Madame, voilà donc cet ennemi terrible ! t De vos songes menteurs l'imposture est visible.; 14 A moins' que la pitié, qui semble vous troubler, Ne soit ce coup fatal qui vous faisait trembler. 16 ATHALIE, à Joas et à Josabet. Vous sortez 1 18 JOSABET. / Vous avez entendu... | |
 | Charles Augustin Henry - 1856 - 1008 str.
...voit émue un instant et comme malgré elle de l'innocente candeur de Joas , il se hiHe de lui dire : Madame , voilà donc cet ennemi terrible ! De vos songes menteurs l'imposture est visible. L'effet de cette observation d'Abner est d'autant plus sûr, que cette femme altière montre elle-même... | |
 | Jean Racine, Louis Fasquelle - 1856 - 346 str.
...grâce, Font insensiblement à mon inimitié 10 Succéder... Je serais sensible à la pitié ! ABNER. 12 Madame, voilà donc cet ennemi terrible ! De vos songes menteurs l'imposture est visible ; 14 A moins' que la pitié, qui semble vous troubler, Ne soit ce coup fatal qui vous faisait trembler.... | |
 | Jean Racine - 1856 - 336 str.
...grâce, Font insensiblement à mon inimitié 10 Succéder... Je serais sensible à la pitié'! ABNER. 12 Madame, voilà donc cet ennemi terrible ! De vos songes menteurs l'imposture est visible ; 14 A moins' que la pitié, qui semble vous troubler, Ne soit ce coup fatal qui vous faisait trembler.... | |
 | Jean Racine - 1858 - 100 str.
...grâce, Font insensiblement à mon inimitié Succéder. . .Je serais sensible à la pitié ! ABNER. Madame, voilà donc cet ennemi terrible ? De vos songes...semble vous troubler, Ne soit ce coup fatal qui vous faisait trembler. ATHALIE, à Joas et à Josalxt. Vous sortez? JOSABET. Vous avez entendu sa fortune... | |
 | C Lombard de Luc - 1858 - 152 str.
...grâce, Font insensiblement à mon inimitié Succéder. ... Je serais sensible à la pitié ! Aimer. Madame, voilà donc cet ennemi terrible ? De vos songes...semble vous troubler, Ne soit ce coup fatal qui vous faisait trembler, Athalie (à Joas et à Josabef) . Vous sortez ? . Josabet. Vous avez entendu sa fortune... | |
 | Jean Racine - 1858 - 332 str.
...grâce, Font insensiblement à mon inimitié 10 Succéder... Je serais sensible à la pitié ! ABNEB. 12 Madame, voilà donc cet ennemi terrible ! De vos songes menteurs l'imposture est visible ; 14 A moins" que la pitié, qui semblé vous troubler, Ne soit ce coup fatal qui vous faisait trembler.... | |
 | Bescherelle (M., Louis-Nicolas), H. Bescherelle, Litais de Gaux - 1860 - 926 str.
...encor que l'on soit saint. (LA FONTAINE.) De vos songes menteurs l'imposture est visible, A mo'itu qu» la pitié qui semble vous troubler, Ne soit ce coup fatal qui vous faisait trembler. (RACINE.) Les conjonctions restrictives sont celles qui restreignent, de quelque... | |
 | Léon Contanseau - 1862 - 572 str.
...grâce, Font insensiblement à mon inimitié Succéder. . . Je serais sensible à la pitié ? ABNER. Madame, voilà donc cet ennemi terrible ? De vos songes...semble vous troubler Ne soit ce coup fatal qui vous faisait trembler. ATHALIE, à Joas et à Josabeth. Vous sortez ? JOSABETH. Vous avez entendu sa fortune... | |
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Madame, voilà donc cet ennemi terrible? De vos songes menteurs l'imposture est visible, A moins que la pitié qui semble vous troubler Ne soit ce coup fatal qui vous faisait trembler. 
